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Poésie sur le zinc!
... allez, écrivons avant qu'il ne reste rien.
Nous dormons d'ombres et de silences.
J'ai ouvert mon cri sur le vide d'un silence.
... laissez-moi le temps de mourir un peu.
L'absence est un creux dans la nuit.
... j'étais une nuit sans avenir.
... dieu, n'est qu'une échéance de plus.
... on meurt un peu par hasard
... ces minutes impossibles d'un corps sans lendemain.
Au revoir la nuit, adieu soleil.
Soleil terrible que cette nuit...
... et la pluie ira où elle veut.
L'été tremblera de ton absence.
Nous sommes des étoiles consumées...
Ne gave pas ton nom de choses inutiles.
Je t'attendais, à l'ombre de mes solitudes.
… Cette solitude qui grince à l’os
On attendra l'hiver pour mourir demain.
J'ai les yeux bleus de ma nuit
Ecrire, c'est vivre un peu plus loin.
Tu es la preuve que le monde existe.
La nuit ne s'écrit pas, elle se transforme.
La nuit est de la chair à vif.
Obscur poème bricolé à l'ombre.
Sur la pierre noire de la nuit
La pluie fracasse la nuit de 1000 éclats...!
Les réverbères sont les confidents de la nuit...
L'Angoisse du Dernier Trappeur.
A la périphérie de ton ombre...
J'ai le goût d'une histoire...
Celle qui a les lèvres sombres.
Correspondance pour l'enfer!...
Au royaume du fou, le reine est roi.
Aux creux de tes bras, gangrène...
Bastringue et piano bar.
Gabiers, tricards et piliers de bar…
« Je est un autre ! » proclamait Arthur l’Abyssin.
Ecrire m'est affaire de partance.
Mort du Lieutenant Brunbrouck 4e Batterie...
Tu es plus belle que le ciel et la terre
La mort viendra et elle aura tes yeux
Escale sous les Tropiques
Des pâtes, des pâtes oui mais...!
Les racines cours toujours...!
Carnet de bord...!
Uchronie fantaisiste d’une rencontre ambiancée steam-punk entre Hugo Le Maltais et Emilio Abehanne
Journal de marche du lieutenant Abehanne.
Journal de Marche du Capitaine Abehanne.