Poésie sur le zinc!
Le Cercle Poétique du Polychrome Bakchich est un comptoir de poésie en sédition, un espace au zinc rutilant à force d'être frotté par les coudes rugueux d'écrivants dominicaux en mal de vraies joutes littéraires...
... allez, écrivons avant qu'il ne reste rien.
Nous dormons d'ombres et de silences.
J'ai ouvert mon cri sur le vide d'un silence.
... laissez-moi le temps de mourir un peu.
L'absence est un creux dans la nuit.
... j'étais une nuit sans avenir.
... dieu, n'est qu'une échéance de plus.
... on meurt un peu par hasard
... ces minutes impossibles d'un corps sans lendemain.
Au revoir la nuit, adieu soleil.
Soleil terrible que cette nuit...
... et la pluie ira où elle veut.
L'été tremblera de ton absence.
Nous sommes des étoiles consumées...
Ne gave pas ton nom de choses inutiles.
Je t'attendais, à l'ombre de mes solitudes.
… Cette solitude qui grince à l’os
On attendra l'hiver pour mourir demain.
J'ai les yeux bleus de ma nuit
Ecrire, c'est vivre un peu plus loin.
Tu es la preuve que le monde existe.
La nuit ne s'écrit pas, elle se transforme.
La nuit est de la chair à vif.
Obscur poème bricolé à l'ombre.
Sur la pierre noire de la nuit
La pluie fracasse la nuit de 1000 éclats...!
Les réverbères sont les confidents de la nuit...
L'Angoisse du Dernier Trappeur.
A la périphérie de ton ombre...
J'ai le goût d'une histoire...
Celle qui a les lèvres sombres.
Correspondance pour l'enfer!...
Au royaume du fou, le reine est roi.