PAPA

PAPA

 

 

 

Il n’y aura plus ton sourire calme comme un dimanche

Plus non plus tes caresses comme ces oiseaux en vol

Que dire de ton souffle, fort et clair, comme un vent sur la campagne

Je ne pourrai plus m’exercer à la douceur de ton regard

Ce regard si profond, car tellement bleu...

 

Car la guerre revenue, coriace comme du chiendent

A cloué dans mon oeil l’astre rude de l’absence

Et par mille, fut multiplié tourments, angoisses jusqu’à devenir fiel

Jusqu’à cet instant funeste où tout un univers est engloutit,

Et fait courir mon cri de part le monde entier...

 

 

 

26/03/2003

Copyright HugoLeMaltais.blog4ever.com

 


 



19/12/2011
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