Léopoldine
LEOPOLDINE.
Mais, du fond de mon abîme
Je perçois, dans un brouillard doré,
Une aurore...
Comme un acte de bonté
Qui me laisse alors pensif
Sur ton - départ - inopiné...
Et ce rayon adoucissant l’escarpement grotesque de mon exil
Est là pour me grandir,
Et ma peine, s’effacer...
20/03/2002
Copyright HugoLeMaltais.blog4ever.com