En Quarantaine...
En quarantaine…
A travers l’ambre de mon porto blanc, le monde avait une saveur un peu trouble…
A peine le souffle d’une âme…
Le rivage n’avait que l’or du soleil à offrir.
Désosser l’espace pour s’en faire des osselets d’étoiles…
Fracture de la ligne d’horizon sous l’ecchymose bleu du ciel.
Cliquetis des vents dans les branchages…
Tu es seul toi, dans tes émotions.
Et il y a qu’une chose que tu dois savoir : mourir.
(Le temps d’un rêve, j’ai deviné le monde…)
Du 08/01/2016 Au 02/02/2016
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